NURSE WITH WOUND

Chance Meeting on a Dissecting Table of a Sewing Machine and an Umbrella

27,0033,00

Notes



Nurse With Wound

Chance Meeting On A Dissecting Table Of A Sewing Machine And An Umbrella

A1. Two Mock Projections 06:22
A2. The Six Buttons Of Sex Appeal 13:10
B. Blank Capsules Of Embroidered Cellophane 28:18

Edition limité et numéroté en :
> vinyle noir : 700 copies  numérotées + 1 badge
> vinyle gris argent et noir : 300 copies numérotées + 2 badges + carte postale
> vinyle transparent : 50 copies numérotées (s’il vous plait pas de réservations, pas de questions, le disque n’est pas en vente pour le moment).

Réédition officielle. Nouveau remastering vinyle du LP de 1979 par Colin Potter + pochette Gatefold « silver edition » + liste complète de Nurse With Wound à l’intérieur de la pochette Gatefold.

LP, pochette métallique de luxe. Voici la réédition vinyle tant attendue de l’indémodable premier album de Nurse With Wound datant de 1979. Décrit par Sounds à l’époque comme un disque qui « fait sonner The Faust Tapes comme Carousel« , rien n’a changé au cours des 30 dernières années et dire que cette œuvre est le « Sgt. Pepper de l’avant-garde » n’est pas une hyperbole. Les membres du groupe sont les suivants : John Fothergill (synthétiseur, guitare, claviers, vent), Heman (synthétiseur, guitare, claviers, vent), Nicky Rogers (guitare) et Steve Stapleton (synthétiseur, flûte, guitare, claviers).

Le titre tout aussi inhabituel de l’album est une citation du roman surréaliste et poétique Les Chants de Maldoror de l’auteur français d’origine uruguayenne Isidore-Lucien Ducasse, écrit sous le pseudonyme de Comte de Lautréamont. C’est sur ce disque qu’est apparue pour la première fois la fameuse « liste NWW », contenant des dizaines de noms de musiciens et de groupes qui ont influencé Nurse With Wound – une liste qui sert aujourd’hui de carte au trésor pour de nombreux collectionneurs du genre et pour les fans de musique outsider. Elle a été reproduite ici dans la pochette intérieure du gatefold.

« L’album est né lorsque Steven Stapleton travaillait comme signaleur à Londres en 1978. Après avoir travaillé dans un studio d’enregistrement indépendant, il s’est entretenu avec l’ingénieur du studio, Nick Rogers. Ce dernier, frustré par les travaux de publicité et de voix off que le studio lui apportait, exprima le souhait de travailler avec des groupes plus expérimentaux. Stapleton informe Rogers qu’il fait partie d’un tel groupe et un rendez-vous en studio est fixé. Stapleton, cependant, mentait et dut se dépêcher de mettre quelque chose sur pied. Il appelle ses amis John Fothergill et Heman Pathak et leur demande de se procurer un instrument quelconque. C’est ainsi que la première formation de Nurse With Wound (dont le nom est censé faire référence à une scène du film Battleship Potemkin) est rapidement constituée : Stapleton aux percussions, Fothergill à la guitare (avec modulateur en anneau intégré) et Pathak à l’orgue. Le trio n’a pas eu l’occasion de répéter avant d’entrer en studio, mais l’album a été terminé en six heures, Rogers ayant ajouté ce qu’il a appelé une « guitare commerciale » sur la pochette. Le piano et le synthétiseur du studio ont également été utilisés. L’histoire est tellement fortuite qu’elle semble improbable, mais Stapleton et Fothergill se sont mis d’accord sur l’histoire lorsqu’ils ont été interviewés séparément par David Keenan pour son livre England’s Hidden Reverse (Le revers caché de l’Angleterre).
L’album contient trois longues pistes et Stapleton a déclaré qu’elles ont été éditées à partir d’improvisations avec quelques overdubs. Stapleton a conçu la pochette à partir d’un vieux magazine pornographique
L’un des aspects les plus discutés de l’album est la légendaire « Nurse With Wound List », une liste de groupes et d’artistes dont l’intérêt était de les faire connaître, puisqu’à l’époque la plupart d’entre eux étaient totalement inconnus.